Petit Lexique de Géobiologie…… Le micro-environnement.
Définition. Pour améliorer la qualité biotique des habitats, mais cela est vrai également pour d’autres domaines du bien-être comme l’alimentation, il y a toujours deux manières d’agir.
La première consiste à engager des actions pour faire changer les lois et faire évoluer ainsi l’offre, pour que ne soient proposés que des constructions saines, des aliments sains, etc. C’est le rôle des associations, qui doivent souvent se lancer dans de véritables combats, toujours très longs…voire sans fin. Le débat sur les rayonnements électromagnétiques en sont une illustration…
La seconde consiste à agir à titre individuel sur notre micro-environnement…là où nous faisons notre propre loi et où nous pouvons interagir très rapidement. Cela est rendu possible par le fait que l’information circule beaucoup de nos jours : il faut bien sûr trier pour éliminer les études subjectives (celles qui permettent souvent de bloquer les actions des associations souhaitant faire modifier les lois). Personne ne peut nous empêcher d’utiliser des matériaux sains, de réduire notre exposition aux rayonnements électromagnétiques, ou pour reprendre l’exemple de l’alimentation, d’acheter des produits biologiques, de cultiver notre potager à notre façon ou de cuisiner nos plats.
Et cela est d’autant plus important que notre environnement évolue actuellement très vite. De nombreux produits arrivent tous les jours sur le marché, sans que nous en connaissions vraiment les impacts à moyen et long termes. Et lorsque des doutes apparaissent, il existe une forte inertie pour obtenir leur interdiction officielle.
Mon conseil Bien-être. Ces deux modes d’action sont nécessaires. Mais force est de constater que, bien souvent, l’action sur son micro-environnement est négligée alors que c’est la plus efficace à court terme.
Comme dit précédemment, il est possible de faire vos propres recherches pour vous forger une opinion. Mais il existe de plus en plus des professionnels pour vous accompagner dans ces démarches individuelles. Engager un projet d’Habitat Biotique illustre parfaitement cette volonté d’agir sur son micro-environnement.
Et n’oublions pas que le consommateur a tous les pouvoirs : un industriel ne fabrique que des produits (ou des services) qui trouvent acquéreurs. Ne plus acheter un produit le condamne à disparaitre…sans avoir à attendre son interdiction.