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philippe BOUCHAUD

ECOLOMAG mars-avril / Compatibilité électromagnétique

3 avril 2022 par philippe BOUCHAUD

Ecolomag Petite Lexique de Géobiologie

Définition. Un appareil électrique ne doit pas :

  • Perturber son environnement électromagnétique (les autres appareils électriques se trouvant dans son environnement),
  • Ni être perturbé par son environnement électromagnétique.

Il existe des normes pour cette Compatibilité Electromagnétique (CEM). Pour faire simple (pour certaines hyperfréquences) :  les appareils « Grand Public » ne doivent pas dépasser la norme de 3 Volts/mètre (V/m) et dans l’industrie de 10 V/m.

Il existe donc une reconnaissance indirecte qu’une onde électromagnétique peut être perturbante et cela est incontestable car l’appareil dysfonctionne en présence de l’appareil perturbateur et se remet à fonctionner normalement après l’éloignement dudit appareil. Il est intéressant de noter que les valeurs maximum autorisées pour les appareils électriques sont très faibles si on les compare à celles admises pour les êtres humains (entre 28 et 61 V/m pour les normes officielles d’hyperfréquences….mais rappelons que nos consignes de Prévention Prudente sont de 0,6 V/m pour le grand public et 0,06 V/m pour les ElectroHyperSensibles).

Nous pouvons aussi citer l’exemple de la polémique actuelle sur la 5G qui pourrait perturber, selon les acteurs du secteur aérien américains, le bon fonctionnement de certains appareils de bord. Dans ce cas, il s’agit d’un problème de fréquences trop voisines.

 La grande difficulté pour l’être humain, quant à l’impact des ondes électromagnétiques, vient du fait que ses pathologies sont multifactorielles et qu’il ne s’arrête pas de fonctionner comme un banal appareil électrique.

J’ai été mandaté plusieurs fois pour régler un problème avéré de dysfonctionnement de machines où j’ai pu constater une autre problématique humaine, plus difficile à quantifier. Pour ne citer que 2 exemples :

  • Dans un atelier où une machine-outil se mettait en erreur à cause d’un environnement électromagnétique élevé, il est apparu que le chef d’atelier était en conflit avec sa direction suite à plusieurs problèmes cardiaques qu’il attribuait, à tort ou à raison, à ce contexte. La direction a accepté mes conseils de déplacement de la machine en zone neutre mais a réfuté toute action pour le chef d’atelier car, il est vrai, les mesures se situaient sous les normes françaises (élevées). La position de la direction est toutefois compréhensible car il m’est impossible d’apporter des preuves irréfutables, toujours du fait du caractère multifactoriel d’une pathologie, et cela ouvrirait un précédent qui pourrait s’avérer préjudiciable par la suite, alors que cela n’est pas nécessaire car les obligations légales sont respectées. Après avoir expliqué la situation au chef d’atelier, nous avons pris l’initiative – officieuse – de trouver une zone neutre et de déplacer son bureau….
  • J’ai été appelé par des soignants chez un particulier car une pompe d’alimentation dysfonctionnait. J’ai découvert un contexte électromagnétique très élevé qui expliquait le dysfonctionnement de l’appareil électrique mais également un monsieur alité (maladie de Charcot) dans ce même environnement (notamment sur un lit électrique non blindé correctement). Le travail réalisé pour résoudre le problème de l’appareil électrique a donc très probablement aussi été profitable au monsieur….

Mon conseil bien-être. Les doutes sur l’exposition aux ondes électromagnétiques existent mais il est impossible de les prouver de manière catégorique. Cela dépend de la constitution de la personne et aussi de la source : fréquence / puissance / durée d’exposition …A chacun de décider de la conduite à tenir pour lui-même : ne rien faire ou engager une démarche personnelle pour améliorer son propre environnement électromagnétique. Surtout quand l’on sait qu’il est très facile de le faire, à un coût souvent dérisoire.geobiologie

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ECOLOMAG janv-fev / Electricité sans fil

3 avril 2022 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie

Définition. Depuis 1830 et les premières recherches de Michaël Faraday, la transmission sans fil de l’électricité hante les rêves des chercheurs du monde entier.

Approvisionner l’électricité dans les bâtiments directement par l’air, en s’affranchissant des réseaux de lignes à haute tension et des transformateurs, réduirait les coûts de mise en place et de maintenance de ces lourdes installations.

De même, en équipant les appareils « d’une antenne redresseuse » capable de capter cette électricité ambiante, ceux-ci deviendraient autonomes en rechargeant automatiquement leur batterie, sans avoir à être branchés sur une prise (ou sans besoin de pile).

La première approche est celle de l’induction magnétique : une bobine génère de l’électricité et les appareils se trouvant dans son rayonnement la capte. Mais cela reste très localisé, et les applications sont donc limitées.

La seconde approche est basée sur les hyperfréquences déjà présentes dans l’environnement (Wi-Fi par exemple) ou émises depuis une centrale de production : un appareil équipé d’une « antenne redresseuse » capte les hyperfréquences environnantes et les transforme en électricité. Pour l’instant, la puissance captée est très faible et ne peut alimenter que des petits appareils comme des détecteurs de fumée ou des caméras de surveillance par exemple.

Nous vivons une accélération de ces technologies pour 3 raisons :

  1. L’environnement comporte de plus en plus d’ondes électromagnétiques. Cela va encore croître avec la mise en place de la 5G.
  2. Les besoins à venir sont gigantesques, puisque nous possédons de plus en plus d’appareils que nous devons recharger en permanence, ce qui est fastidieux.
  3. La technologie évolue et permet de capter des fréquences de plus en plus nombreuses, allant jusqu’aux TeraHertz (10¹² hertz). Des avancées sont réalisées aussi en termes de puissance et de distance.

 Il faut bien comprendre qu’il y a 2 sujets distincts :

  1. Le premier consiste à capter les ondes électromagnétiques déjà présentes autour de vous. Dans ce cas, il n’y a pas d’ondes supplémentaires.
  2. Le second va apporter un supplément d’ondes, puisqu’il s’agit d’émettre de nouvelles hyperfréquences à partir de centrales, vers des zones à électrifier ou directement vers des bâtiments.

NB / Pour être complet, cela veut dire qu’il y aura beaucoup plus d’hyperfréquences disséminées dans l’air qui nous entoure, mais aussi que cela réduira la présence du 50 hertz qui rayonne aujourd’hui autour des lignes à haute tension et des transformateurs.

 Mon conseil bien-être. Dans l’avenir, pour minimiser son exposition aux ondes électromagnétiques, il y aura deux axes :

  1. S’éloigner des villes où la densité d’ondes sera la plus forte. Encore un argument qui renforce la tendance actuelle à migrer vers les campagnes.
  2. Bien maîtriser son propre environnement électromagnétique, dans son domicile, pour en faire une zone neutre.

Il faut aussi savoir que la propagation des ondes de la 5G est différente de celle des fréquences précédentes (4G, 3G, …). Ces dernières rayonnent autour d’elles de manière constante sans fort lien avec les besoins. Par contre, la 5G envoie les hyperfréquences vers les objets connectés qui en font la demande. Donc, plus une zone demandera les hyperfréquences de la 5G, et plus la zone sera « arrosée » d’ondes.

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ECOLOMAG nov-dec / Noosphère

3 avril 2022 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie

Définition. La géobiologie est née de la conviction que l’homme est interconnecté avec son environnement :

  • Il l’impacte et/où est impacté par lui.
  • Cela concerne son environnement proche et/ou son environnement lointain.
  • L’impact peut être physique et/ou psychique.

Pour ne parler ici que des impacts psychiques :

– Dans son micro-environnement (l’habitat et autres lieux de vie), l’être humain est confronté aux mémoires de murs. Soit il les crée par son comportement (longues maladies, agressions ou pensées négatives répétées, …), soit il les subit quand il vit dans des lieux impactés par les occupants précédents. J’ai déjà longuement développé ce thème dans des articles précédents.

– Dans son macro-environnement (la terre), il existe une même notion mais beaucoup plus large car elle n’implique plus des individus isolés mais la collectivité humaine toute entière. Elle porte plusieurs noms selon les observateurs et leurs sensibilités.

Vladimir Vernadsky (un des fondateurs de la géochimie moderne qui a travaillé sur les effets des radiations solaires et cosmiques sur l’ensemble des organismes vivants) et Pierre Teilhard de Chardin (prêtre jésuite français, chercheur, paléontologue, théologien et philosophe), ont tous deux utilisés le terme de Noosphère. Ils expliquaient qu’il s’agit d’une couche de faible épaisseur entourant la Terre qui serait le lieu de l’agrégation de l’ensemble des pensées, des consciences, des idées et des découvertes produites par l’humanité à chaque instant.

Sans utiliser ce mot de Noosphère, Ernest Renan (écrivain, philosophe et historien) imaginait dès son époque que l’union de plusieurs organismes ou individus crée des sortes de consciences imbriquées.

Mais nous pouvons aussi relier cela à d’autres concepts tels que l’Inconscient collectif ou les égrégores par exemple.

Comme pour les mémoires de murs, soit l’homme alimente cette « Noosphère », soit au contraire il s’en nourrit, y puise des idées ou de l’énergie.

Cela enclenche, si c’est positif un cercle vertueux, une spirale positive mais si c’est négatif, un cercle vicieux, une spirale négative.

 Mon conseil bien-être. En cette longue période de pandémie, nous avons passé beaucoup de temps dans nos maisons et les pensées n’ont pas toujours été très positives. S’agissant de notre micro-environnement, dans lequel nous sommes toujours totalement maîtres, il est facile de « nettoyer » nos propres mémoires.

Mais c’est plus compliqué pour la « Noosphère » que nous avons probablement alimenté avec des peurs, des colères, etc.

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ECOLOMAG sept-oct / Réalité des actions à distance

3 avril 2022 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… Réalité des actions à distance

Définition.

Si la géobiologie moderne utilise de plus en plus des techniques rationnelles (comme l’utilisation de nombreux appareils technologiques), il reste encore des domaines encore controversés car sans base scientifique avérée.

C’est notamment le cas pour les actions à distance.

En géobiologie, il s’agit des recherches et actions à distance sur plan, avant ou à la place des interventions sur site. Un exemple connu est celui de l’abbé Mermet qui a obtenu des résultats spectaculaires dans la recherche des sources sur plan, sans se déplacer. Pas d’explication mais seulement des constats puisque l’eau était bien ensuite trouvée à l’endroit indiqué à distance.

A noter que cela est aussi le cas dans d’autres domaines comme le magnétisme sur photo (voire sans photo). Par exemple, l’action des barreurs de feu à distance n’a pas non plus trouvée d’explication, mais a été constatée puis utilisée avec succès par certains hôpitaux en France.

Mais aucune explication ne fait consensus à ce jour. Cela a pour conséquence que la réalité de ces actions sans lien apparent n’est souvent par reconnue, sinon par les pratiquants eux-mêmes, confortés par leurs propres expériences

De grands espoirs de reconnaissance sont apparus avec le développement de la physique quantique, dont les règles sont totalement différentes de celles de la physique classique. Une notion importante de la physique quantique est l’intrication quantique. Elle se réfère à l’existence d’un lien inextricable entre deux particules dites « intriquées », quelle que soit la distance qui les sépare. Si l’état de l’une d’elles est modifié, celui de l’autre change instantanément, comme s’il s’agissait d’un seul et même système.

L’intrication donne donc lieu à des actions non locales et sans lien apparent. Nous pouvons alors penser que la physique quantique apportera bientôt des explications à tous ces phénomènes que la physique classique ne peut comprendre.

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ECOLOMAG dec-janv / Magnéto-réception

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… La magnéto-réception

Définition. Il s’agit de la capacité d’un être vivant (animal, végétal ou humain) à ressentir ou capter le champ magnétique terrestre. Ce champ magnétique, qui sort du plus profond de la terre traverse les cellules de tous les organismes vivants.

Depuis quelques années, les études les plus nombreuses ont porté sur les animaux. Etudes concernant la migration des oiseaux (que l’on peut désorienter avec un aimant placé sur eux) ou des mammifères, études sur le déplacement de certaines bactéries en fonction du champ magnétique terrestre, etc. Au fil des années, le nombre d’espèces concernées grandit continuellement.

Je n’entrerai pas ici dans l’explication des divers mécanismes de perception possibles, directs ou indirects, d’autant qu’il n’existe pas de consensus sur le sujet. Un des principes par exemple se réfère à la présence dans le corps de certains animaux de magnétite, constituée de fer sensible au champ magnétique.

Le végétal n’a pas véritablement fait l’objet d’études, mais cette capacité est concrètement exploitée par la magnétoculture (voir un de mes articles précédents).

En ce qui concerne l’homme : Le professeur Rocard (père de Michel Rocard) a fait état dans son livre « Le signal du sourcier » de la présence de magnétite dans diverses zones du corps humain. Il avance l’hypothèse que le sourcier capterait par sa magnétite les modifications du champ magnétique générés par les discontinuités de terrain ou le frottement de l’eau sur les parois des cavités.

Finalement, ce que les adeptes du paranormal nomment le sixième sens, pourrait avoir une explication beaucoup plus rationnelle.

Mon conseil bien-être. Cette allusion à la magnéto-réception participe à la réflexion commencée dans mon dernier article sur nos immenses facultés humaines. Nous avons de grandes capacités de mémoire, de réflexion, de calcul, d’orientation…que nous utilisons de moins en moins. Pour deux raisons :

  • L’éducation bien sûr qui nie certains de nos potentiels.
  • La facilité liée au développement du numérique et notamment du smartphone qui contient tant de fonctions (calculatrice, GPS, moteurs de recherche,..) qui nous dispensent peu à peu de la nécessité ou de l’envie d’utiliser nos propres capacités.

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ECOLOMAG oct-nov / Plasticité cérébrale

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… Circuits neuronaux et plasticité cérébrale.

Définition. Au fil de mes articles depuis plusieurs années, vous avez pu comprendre que la géobiologie utilise de plus en plus du matériel technologique pour objectiver incontestablement la présence dans un lieu de certains phénomènes. C’est le cas par exemple des invisibles ondes électromagnétiques. Le seul problème reste dans l’interprétation de leur impact, selon que l’on se réfère aux normes en vigueur ou aux préconisations de prévention prudente. A chacun de juger.

Mais, pour certains phénomènes, il n’existe toujours pas d’appareil technologique pour les objectiver et la détection biosensible reste la seule solution. Alors vient la sempiternelle question : don ou pas don ? Qui est capable de percevoir avec son corps ?…

Voici une explication très schématisée, issue de ma compréhension des neurosciences et très imagée par l’emploi d’une comparaison entre notre cerveau et une forêt.

Si nous nous trouvons devant une forêt vierge, pour la pénétrer, il nous faut débroussailler pour créer un sentier. Plus nous allons emprunter ce sentier et plus il va être praticable. Mais si nous ne l’utilisons plus, la végétation va reprendre le dessus et ce sentier va disparaitre.

Dans le cas du cerveau, à notre naissance il existe déjà des «sentiers ». Et tout au long de notre vie de nouveaux vont être créés par l’apprentissage et la répétition ou disparaitre parce qu’ils ne sont pas utilisés :  cela se nomme la plasticité cérébrale. Et pour nommer plus scientifiquement ce qui a été nommé précédemment « sentier », il s’agit des « circuits neuronaux », constitués par des neurones assemblés entre eux pour exécuter une tâche bien spécifique.

Ainsi, si nous avons dans nos ancêtres un sourcier, une magnétiseuse ou toute autre personne ayant développé sa sensibilité, nous possédons à notre naissance un « sentier » correspondant. Nous aurons alors plus de facilité pour accéder à notre biosensibilté. Mais si tel n’est pas le cas, il nous faudra créer ce sentier et cela sera tout à fait possible.

Chacun a donc la capacité d’être biosensible mais plus ou moins facilement. A noter également que parfois nous possédons ces sentiers mais nous ne les empruntons pas, par peur de l’inconnu ou par mauvaise estime de soi.

Mon conseil bien-être. Savoir utiliser son corps pour percevoir son environnement reste essentiel tant que la science n’aura pas développé des appareils de mesure pour tous les phénomènes qui nous entourent. Dans un premier temps, il s’agit de découvrir quelles sont nos pré-dispositions naturelles dans ce domaine, puis ensuite, par l’apprentissage et la répétition, développer ou renforcer ces capacités.

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ECOLOMAG août-sept / Ressenti

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… Evolution du ressenti chez l’homme moderne…

 Définition. Jusqu’à l’âge de 7 ans environ, l’enfant se fie à son ressenti, sans préjugé aucun. L’un va détester ou adorer d’emblée une personne rencontrée pour la première fois, un autre va vous montrer quelque chose que vous ne voyez pas, … Caprice ou ressenti direct, imagination ou vision réelle,… A chacun d’apprécier selon ses croyances actuelles.

Puis arrive l’âge de l’apprentissage, de l’éducation. Tout doit devenir rationnel, visible, explicable. Et l’enfant – en règle générale – perd cette spontanéité innée au profit de l’analyse, du concret, du palpable. C’est la victoire de l’hémisphère gauche sur le droit.

Il existe une troisième période pour certaines personnes (de plus en plus nombreuses), vers 40 ou 50 ans. Car elles se sont rendu compte au fil des années que leurs premières impressions – sans analyse objective – se sont très souvent révélées juste, alors qu’elles les avaient gommées après s’être entendu dire : « Mais tu ne connais pas cette personne, comment prétends-tu la juger ? ».

Car elles ont souvent aimé ou détesté certains lieux, sans raison objective, alors que les éléments concrets auraient dû leur faire penser le contraire.

Mon conseil bien-être. Souvent, c’est au cours d’un stage que l’on ré-apprend à écouter mais aussi interpréter ses ressentis psychiques ou simplement physiologiques. Quel étonnement de constater que l’on n’avait jamais perçu les réactions de son corps et pourtant, qu’une simple attention suffit : impression de lourdeur à certains endroits ou de légèreté à d’autres. Un exercice dans une cheminée cosmo-tellurique est toujours une découverte enthousiasmante : sans bouger de place, notre stabilité varie au même rythme que le phénomène. De même, pour le côté psychique, certains lieux nous oppressent et d’autres nous paraissent sereins.

Nous voilà alors réconciliés avec notre hémisphère droit, pour une utilisation plus complète de notre cerveau.

 

 

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ECOLOMAG mai-juin / Confinement

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… En période de confinement…

 Définition. En temps normal, l’homme moderne passe plus de 80% de son temps à l’intérieur de bâtiments, que ce soit à son domicile, à son travail, dans les commerces, etc.

En cette période de confinement, non seulement ce pourcentage est plus élevé encore, mais c’est l’habitat qui est devenu l’unique lieu de séjour.

Se préoccuper de son lieu de vie revêt donc encore plus d’importance qu’avant…et nous avons le temps de le faire…

Les deux facteurs, qui constituent à eux seuls la majorité des pathologies des bâtiments modernes, sont : La Qualité de l’Air Intérieur (QAI) et l’environnement électromagnétique. Si ce deuxième point est plus difficile à traiter par un non-professionnel ne disposant pas d’appareils de mesure, agir sur la QAI est plus à la portée de tout un chacun.

 Mon conseil bien-être. Pour la QAI, comme pour résoudre beaucoup de problèmes, il existe deux moyens d’actions.

Niveau 1 : Agir prioritairement sur les causes.

Niveau 2 : à défaut d’éliminer les causes, agir sur les conséquences.

Il convient donc dans un premier temps de ne pas produire de COV (Composés Organiques Volatils) ni d’humidité excessive dans son intérieur. Ne pas brûler de bougies, ni d’encens, ni autres parfums. Ne pas fumer bien sûr. Ne pas utiliser de produits d’entretien très chimiques et utiliser des produits écologiques ou revenir à des produits peu toxiques comme le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude ou le savon noir. L’ADEME a  réalisé une étude qui suggère que globalement, les produits « faits maison » émettent des quantités plus faibles de composés volatils que les produits manufacturés.

Ce n’est pas le moment de repeindre son intérieur, même avec des produits à faible teneur en COV car les émanations fortes ont lieu les 3 premières semaines. Il faut savoir que les classifications apparaissant sur les étiquetages (A+, A, B et C) sont réalisées à partir de mesures après 28 jours d’application.

Dans un second temps, si l’on n’a pu empêcher la création de COV par les activités énoncées ci-dessus, mais aussi par les matériaux ou mobilier déjà présents, il est nécessaire d’aérer fortement. Et il ne s’agit pas d’ouvrir simplement une fenêtre, mais bien de créer de véritables circulations d’air, seules en mesure de renouveler tout l’air intérieur. Cela permettra aussi d’évacuer l’humidité présente. Il ne faut pas oublier que la respiration et la transpiration d’une personne produisent en moyenne 1.25 l de vapeur d’eau par personne et par jour. Donc plus nous occupons notre logement et plus ce chiffre est élevé. Et cela veut dire aussi plus de douches, plus de cuisine donc encore plus de vapeur d’eau. Faire sécher le linge à l’intérieur génère aussi des problèmes d’humidité, donc de risque de moisissures.

Enfin, dans les zones à radon, une bonne aération de la maison est encore plus importante.

 

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ECOLOMAG mars-avril / 6G

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

EcolomagPetit Lexique de Géobiologie…… La 6G…

 Définition. La 5G n’en est qu’à ses balbutiements et il est déjà question de la 6G (pour 2030 environ) qui sera cent fois plus puissante que la 5G.

Rappel : la 5G va présenter des débits plus importants que la 4G et une latence beaucoup plus courte. Elle va permettre la mise en place : de l’IdO (Internet des Objets), de la voiture autonome, des robots de chirurgie à distance, des usines intelligentes, etc. Elle utilise la bande de fréquence des GigaHertz.

La 6G permettrait des débits énormes et une latence encore plus réduite. Elle utilisera la bande des Gigahertz mais aussi des TeraHertz (1 TeraHertz = 1000 GigaHertz). Selon les promoteurs de cette technologie : « … elle sera accessible sur terre, la mer, l’air et l’espace ».

Il faut savoir que plus la fréquence devient élevée et plus la pénétration est faible. Il faudra donc prévoir une densité d’antennes plus forte. On parle de «small cells», petites antennes  utilisées dans le mobilier urbain ou les environnements fermés comme des parkings, les centres commerciaux ou les stades.

Mais quid en termes de bien-être ? La seule chose incontestable sera un accroissement de l’electrosmog dans les années à venir. Ensuite vient le sempiternel débat sur la nocivité ou l’innocuité des ondes, sur lequel je ne reviendrai pas ici.

Mon conseil bien-être. Toujours le même… Ces nouvelles technologies finissent toujours par être mises en place, à tort ou à raison. La seule réponse, à titre individuel, reste la maîtrise de son micro-environnement. On ne peut contrôler l’electrosmog ambiant que dans son lieu de vie : en partie la zone d’habitation et surtout l’intérieur de son habitat. Il existe presque toujours des solutions pour se conformer aux préconisations de prévention prudentes plutôt qu’aux normes officielles beaucoup plus élevées.

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ECOLOMAG janv-fev / Maisons de famille

22 février 2021 par philippe BOUCHAUD

Ecolomag

Petit Lexique de Géobiologie…… Les maisons de famille.

 

Définition. Lorsque vous achetez une maison, il ne vous viendrait pas à l’idée de garder la décoration des anciens propriétaires, que ce soit les souvenirs de leurs voyages ou les photos de leurs enfants même s’ils sont particulièrement mignons. Mais il ne s’agit là que de la partie visible de la présence passée des précédents propriétaires. Or, il peut exister également une autre forme de rémanence :  l’imprégnation de la structure énergétique de la maison, appelée « mémoire des murs ».

Dans le cas des maisons de famille reprises par un des enfants, la problématique est encore plus complexe, de deux points de vue.

  1. Le conjoint (la « pièce rapportée » de la famille) ne trouve pas toujours sa place dans cette maison imprégnée de la vie de la famille qu’il rejoint. Combien de fois ai-je entendu « la pièce rapportée » dire, des années après, à son conjoint interloqué « …mais nous sommes chez toi.. ».
  2. Les autres membres de la famille viennent encore des années après « dans la maison de Papa et Maman » : l’imprégnation des parents et autres ancêtres de la famille est si forte qu’ils n’arrivent pas à intégrer que la maison appartient maintenant à 100% à leur frère ou à leur sœur.

 

Mon conseil bien-être. De la même manière que vous procédez à un nettoyage des sols et des vitres quand vous investissez une nouvelle maison, il faudrait penser à la nettoyer de son vécu, qu’il soit positif ou négatif. Ceci afin de vous l’approprier rapidement et de l’imprégner de votre propre énergie.

Cela fait partie des compétences de la géobiologie. Sans compter que le reste d’une intervention géobiologique est toute aussi importante, puisqu’elle vous permettra de ne pas vivre ensuite entouré d’ondes électromagnétiques, de COV et autres nocivités de certains habitats.

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